World War Z de Max Brooks

Aujourd’hui, je vous parle de World War Z de Max Brooks !
— Ah ! Encore une histoire de zombies, diront certains, avec déception.Ou encore,
— Le film était nul (je ne suis pas aussi catégorique), quel intérêt de nous parler du bouquin !
Eh bien ! World War Z échappe aux écueils coutumiers des livres sur les zombies et ne renouvelle pas seulement le genre, il le
C’est vrai qu’il y a pléthore de livres, de séries et de films sur ce genre, et ils ne sont pas très bons pour la plupart.
Eh bien ! World War Z échappe aux écueils coutumiers des livres sur les zombies et ne renouvelle pas seulement le genre, il le
Tout d’abord, le livre n’a rien à voir avec le film. Mais quand je ne dis rien, c’est à peine si ce dernier en reprend une scène. Donc, déjà, aucune chance de vous divulgâcher quoi que ce soit, vous pouvez y aller…
Le pitch est ultra-simple, comme vous vous en doutez. Un virus contamine une partie de l’humanité et la
C’est là toute la force de l’œuvre. Dès le premier témoignage, vous êtes happé par la diversité des histoires et les différents points de vue adoptés. À chaque fin de chapitre, vous vous dites que c’est criant de réalisme et que si nous devions subir cet évènement, aussi improbable soit-il, c’est sans doute comme cela que ça se déroulerait. Chez moi, la suspension d’incrédulité a été totaleC’est simple, j’ai commencé WWZ un soir à 20 h, je l’ai terminé le lendemain à 8 h ; nuit blanche. Je n’ai simplement pas pu décrocher et c’est un des rares ouvrages, avec Gagner la guerre, que j’ai relu. Toujours avec le même étonnement et le même appétit.WWZ m’a énormément influencé lors de l’écriture de JONAS, notamment dans ma volonté de rendre une atmosphère la plus réaliste possible. Je souhaite reproduire chez vous, futurs lecteurs, cette même impression que j’ai ressentie en le lisant et qui m’a fait plonger dans l’histoire : l’impression que chaque situation pourrait se dérouler de la même manière dans la réalité.
Le pitch est ultra-simple, comme vous vous en doutez. Un virus contamine une partie de l’humanité et la
transforme en horde assoiffée de chair humaine. À partir de là s’engage le combat des hommes pour leur survie.
L’auteur a choisi de traiter le sujet sous forme de témoignages. Le narrateur est mandaté par l’ONU pour interviewer différentes personnes, de tout horizon, de tout lieu, afin de construire un rapport permettant d’établir comment, a posteriori, cette crise a été gérée. Le narrateur raconte qu’il a rendu un travail concis, sélectionnant un nombre restreint de ces entrevues. Toutefois, devant la qualité de ces entretiens, il décide d’en livrer l’ensemble à qui voudra les lire : c’est cela que vous lisez. Il vous les présente dans l’ordre chronologique, du patient zéro jusqu’au dénouement, que je vous laisserai découvrir.C’est là toute la force de l’œuvre. Dès le premier témoignage, vous êtes happé par la diversité des histoires et les différents points de vue adoptés. À chaque fin de chapitre, vous vous dites que c’est criant de réalisme et que si nous devions subir cet évènement, aussi improbable soit-il, c’est sans doute comme cela que ça se déroulerait. Chez moi, la suspension d’incrédulité a été totale
N’oubliez pas, si vous croisez un zombie : La tête, c’est bien, les rotules, c’est pas nul…
À bientôt.
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